J’aurais pu additionner de notules certains paragraphes ; mais passons, car je dirai prochainement toute ma pensée sur la matière, en tête de l’œuvre qui occupe mes heures présentes. […] Bien qu’ils n’aient, comme jadis les Parnassiens, ni éditeur commun1, ni recueil à eux, où leur groupe apparaisse nettement délimité, ceux qui s’occupent de vers savent qui l’on désigne par ce nom ironique de décadents. […] Depuis deux mois, la presse s’occupe beaucoup, à propos d’une agréable parodie1, de certains poètes qu’on qualifie arbitrairement de « décadents » ; et voilà qu’un écrivain grave, M.