Lorsqu’elle s’occupa de politique (et elle y fut bientôt forcée par les sollicitations et les exigences de sa coterie même), elle ne le fit qu’à son corps défendant sans doute, mais elle dut s’y prêter ; elle s’en occupa d’abord par le petit côté, et seulement pour faire prévaloir ses recommandations personnelles, ses propres préférences ou plutôt celles de ses intimes. […] » La tante Adélaïde avait de la prétention à l’esprit, aux grands moyens, à l’influence ; elle occupait, avant l’arrivée de la Dauphine, la première position comme princesse ; elle ne pardonnait point à celle-ci de l’avoir détrônée ou reculée.