Je ne puis plus m’occuper de rien. […] Je m’occupe un peu à lire Cicéron, Montaigne, des livres qui me donnent un peu de force à l’âme ; mais elle est accablée. » N’entendons-nous pas le cri de l’âme ? […] Elle s’occupait de sa correspondance très étendue et la tenait dans un ordre parfait.