La gloire est plus faite pour tourmenter que pour éclairer nos esprits ; elle les force plus à s’occuper du génie qui l’a méritée qu’à le bien comprendre. […] On s’en est jusqu’ici beaucoup plus occupé qu’on ne l’a compris.
La gloire est plus faite pour tourmenter que pour éclairer nos esprits ; elle les force plus à s’occuper du génie qui l’a méritée qu’à le bien comprendre. […] On s’en est jusqu’ici beaucoup plus occupé qu’on ne l’a compris.