J’étais à la campagne, presque seul, libre de soins et d’inquiétudes, laissant couler les heures sans autre dessein que de me trouver le soir, à la fin de la journée, comme on se trouve quelquefois le matin après une nuit occupée d’un rêve agréable. […] Je l’entends, il vous dit : ; « Celui qui renferme dans une urne la cendre négligée d’un inconnu, fait un acte pieux ; celui qui élève un monument à son ami, donne de l’éclat à sa piété : que ne vous dois-je pas, à vous qui vous occupez de ma gloire !