Pour l’objet qui nous occupe, il faut bien le redire et ne pas s’en lasser : à creuser profondément les problèmes d’esthétique on finit par heurter le roc fondamental d’où partent quantité de filons mystérieux par quoi notre être se relie aux choses. […] Le métaphysicien s’occupe des données immédiates de la conscience et des choses, de « la réalité, du contenu vivant et intuitif de l’expérience même, du sentiment de l’être et de l’action17 ».