Il est bien vrai que je ne me suis jamais guère occupé d’autre chose, et que j’ai suivi en cela un penchant fort commun de notre temps. […] Le critique dont je vais parler est un fantôme, une chimère, un rêve de mon imagination ; ce n’est ni votre portrait ni le mien ; et s’il se rencontre par le monde quelqu’un avec les qualités que je lui attribue ou les défauts contraires, c’est de quoi je ne me suis pas occupé. […] D’un autre côté, plusieurs critiques paraissent, en écrivant, plus occupés d’eux-mêmes que de l’ouvrage dont ils parlent.