C’est ainsi que depuis longtemps nous nous sommes habitués à doubler le plaisir qu’on va chercher au théâtre par l’observation du spectateur. […] En esthétique comme en morale et en politique, rien ne vaut l’observation directe, attentive, patiente de la vie et de la réalité. […] Rien n’est plus vrai que cette observation, que l’humoriste étendait successivement à toutes les pièces de Shakespeare. […] La seconde observation est encore plus importante. […] Ses drames ont réponse à toutes les objections, à toutes les critiques, et il n’est observation si mince et si subtile qu’ils ne semblent avoir prévue.