Mais rien n’émeut davantage que ce mélange de douleurs et de méditations, d’observations et de délire, qui représente l’homme malheureux se contemplant par la pensée, et succombant à la douleur, dirigeant son imagination sur lui-même, assez fort pour se regarder souffrir, et néanmoins incapable de porter à son âme aucun secours. […] Il est encore une observation importante contre les systèmes nouveaux dont on veut faire une secte ; l’esprit humain marche trop lentement, pour qu’une suite quelconque d’idées justes puisse être trouvée à la fois. […] Cette observation s’applique plus particulièrement encore à ce chapitre qu’à tous les autres.