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549. (1899) Arabesques pp. 1-223

C’est une aube légère après une lourde nuit, parcourue de comètes échevelées et toute transie sous un pâle clair de lune. […] Fernand Pradel un poème, la Nuit, qui est très beau ; M.  […] La nuit, il exhale un murmure de songe et les étoiles semblent se suspendre à ses branches comme des fruits radieux. […] Quand la nuit fut venue, je m’en allai, paisible, sous les étoiles. […] Perdus dans la nuit, ils parlent du soleil qui leur illumine l’âme.

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