/ 1823
535. (1890) La vie littéraire. Deuxième série pp. -366

Ainsi les lueurs innombrables que nous envoie le ciel des nuits ne sont pas contemporaines. […] Ce grain de sable est à lui seul autant et plus que tous les astres de nos nuits. […] La philosophie et la littérature, ce sont les Mille et une Nuits de l’Occident. […] Les démons l’abordaient de nuit avec une grande lumière. […] Il n’est presque point distinct de cette terre où les âmes en peine reviennent chaque nuit demander des prières.

/ 1823