Et voilà la forme perdurable d’une nuit d’Amiel, — une nuit d’Amiel, comme il y a une nuit de Musset, une nuit de Jouffroy. […] Il était là, quand, dans une nuit sombre, Frêle couvée, on allait nous saisir. […] Il n’est pas bien sûr qu’elle soit utile aux ouailles, et il est certain qu’elle nuit à l’abbé. […] Le 5 octobre est agité de pressentiments. « Mauvaise nuit. […] Le Journal d’Amiel nous dit son plaisir de vivre, une nuit, — l’une des rares qu’il passe à Paris, — où il sort de l’Opéra.