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362. (1890) Derniers essais de littérature et d’esthétique

La voix que j’entendis au cours de cette nuit fut entendue aux temps passée par l’empereur, par le paysan. […] Pas un instant, elle ne cède au repos, Elle n’accueille point la nuit tranquille sur ses paupières ou en sa poitrine lasses. […] Jamais ce n’est la nuit, jamais ce n’est le jour. […] « En maints endroits habite la Destinée, qui ne dort ni jour ni nuit. […] Elle m’a appelé, me disant  : « J’ai entendu un cri pendant la nuit ?

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