Il apostrophe la lune, il parle à la nuit et aux étoiles, et l’on ne se sent point ému. […] Combien Milton est supérieur au chantre des Nuits, dans la noblesse de la douleur ! […] Jamais je n’ai vu de nuit plus belle et plus pure. […] Pourquoi le lecteur ne peut-il s’intéresser aux larmes du chantre des Nuits ? […] Les Nuits de M.