BRESSOL. — Eh bien, et la nuit ? […] DORLOTON. — La nuit, c’est pour dormir. […] Mais la tourmente vient arracher ta nuit l’étendard flottant. […] Elles rappelèrent, ou indirectement, ou directement, la nuit du 20 au 21 mars. […] « Napoléon passa une nuit assez tranquille.