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158. (1890) La bataille littéraire. Deuxième série (1879-1882) (3e éd.) pp. 1-303

À Raguse, les nuits de sortie, c’est chez la Fœdor qu’on allait te chercher. […] — Bonne nuit, mon père. […] ô nuit ! […] La nuit était froide, mais belle. […] Ma mère avait souffert la nuit des tourments horribles.

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