À Raguse, les nuits de sortie, c’est chez la Fœdor qu’on allait te chercher. […] — Bonne nuit, mon père. […] ô nuit ! […] La nuit était froide, mais belle. […] Ma mère avait souffert la nuit des tourments horribles.
À Raguse, les nuits de sortie, c’est chez la Fœdor qu’on allait te chercher. […] — Bonne nuit, mon père. […] ô nuit ! […] La nuit était froide, mais belle. […] Ma mère avait souffert la nuit des tourments horribles.