« Ici, disait Goethe, nuit et jour j’ai du plaisir. […] C’est la peinture, vous le savez, d’une scène de nuit, après une chasse dans les montagnes comme celles dont je vous parlais. Nous nous étions construit au pied d’un rocher de petites huttes, couvertes de branches de sapin, pour y passer la nuit sur un sol sec. […] Il me dit qu’il avait été obligé de quitter un peu sa Nuit de Walpurgis, pour finir sa dernière livraison d’Art et Antiquité. […] Mais, dans la nuit du 19 au 20, la maladie prit tout à coup un caractère menaçant.