On y voit combien Malherbe connaissait notre langue, et était né à notre poésie ; combien son oreille était délicate et pure… » Quand j’avais de ma foi l’innocence première, Si la nuit de la mort m’eût privé de lumière, Je n’aurais pas la peur de l’immortelle nuit. […] Celle-ci ne résistera pas à cette « nuit de printemps incarnée en garçon ». […] Ce serait pis que d’avoir un jésuite dans son mur ou l’œil de Moscou dans sa table de nuit. […] Des nuits froides et des journées torrides, avec des écarts de plus de quarante degrés au thermomètre ! […] Mais le bétail y passe la nuit pêle-mêle avec les gens.