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323. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Première partie. — Chapitre XV. »

Mais tu t’arrêtes, et le jour s’éloigne ; avance, nouvelle épouse. […] Mais tu tardes, et le jour s’éloigne ; avance, nouvelle épouse. […] Mais tu tardes, et le jour s’éloigne ; avance, nouvelle épouse. […] avance, nouvelle épouse. » Une autre poésie de Catulle, différente par la forme, sur le même sujet, devait, ce semble, reproduire cette pompe musicale et ces chœurs que disposait Pindare.

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