Mais tu t’arrêtes, et le jour s’éloigne ; avance, nouvelle épouse. […] Mais tu tardes, et le jour s’éloigne ; avance, nouvelle épouse. […] Mais tu tardes, et le jour s’éloigne ; avance, nouvelle épouse. […] avance, nouvelle épouse. » Une autre poésie de Catulle, différente par la forme, sur le même sujet, devait, ce semble, reproduire cette pompe musicale et ces chœurs que disposait Pindare.