Il était bien le premier à le sentir, et lorsqu’on 1815 il se trouva lancé dans une voie toute nouvelle et qui se rapportait si peu à ses engagements précédents, au lieu d’agir en tout comme un véritable esprit politique qui, après avoir bien réfléchi et calculé, se détermine et ne bronche plus, il éprouva le besoin de s’appuyer au dehors sur l’opinion de quelqu’un : à cet effet, il choisit le général La Fayette comme une sorte de confident responsable.