Mais cet autel nouveau, passée la fièvre juvénile, dut lui paraître souvent désert. […] Chaque lien nouveau est comme un accumulateur, d’énergie. […] Il inaugure un genre nouveau. […] Et le sonnet prend comme un goût nouveau, par cette étrange métamorphose historique. […] Ceux qui liront ces nouvelles ne me démentiront pas.