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346. (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « Béranger — Note »

Quant au paragraphe qui suit ces trois portraits, et où vous auriez, m’a-t-on dit, trouvé quelque trait offensant, une lecture un peu moins prévenue vous aurait fait voir qu’il ne s’agissait plus des trois portraits précédents, mais de traits nouveaux s’adressant à d’autres caractères qui ne sont qu’à peine indiqués, et auxquels on ne pourrait, à moins d’être bien devin, rattacher aucun nom propre. […] Étant allé une fois à Passy, votre hôtesse, qui m’a reçu très-obligeamment, m’a donné de vos nouvelles : mais vous voudrez bien m’en donner vous-même, n’est-ce pas ? […] Poésie de vin du Rhin, mais neuve, abondante et souvent incontestable de beauté. — M. de Chateaubriand est en plein dans son Milton. — Mais je vous ennuie de mes nouvelles : pour moi, puisque je sais que vous êtes assez bon pour y prendre intérêt, je travaille ; mais le labeur s’allonge, et j’en sortirai lentement. […] J’ai rendu une dernière justice à cet homme excellent et supérieur malgré ses défauts, à propos de sa Correspondance(voir les Nouveaux Lundis, tome I).

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