À la fin, les circonstances forçaient Charles de convoquer un nouveau parlement ; une chance nouvelle s’offrait à nos pères : devaient-ils la rejeter comme ils avaient rejeté la première ? […] devaient-ils aller déposer une seconde pétition des droits au pied du trône, prodiguer une seconde fois des subsides en échange d’une seconde cérémonie vaine, ensuite prendre leur congé, jusqu’à ce que, après dix autres années de fraude et d’oppression, leur prince demandât un nouveau subside et le payât d’un nouveau parjure ? […] La lave a couvert d’une croûte féconde les champs que jadis elle avait dévastés, et après avoir changé un riche et beau jardin en un désert, elle a changé de nouveau le désert en un jardin plus riche et plus beau. […] Tel autre, excellent et nouveau, ne peut être lu qu’une fois avec plaisir. […] — Quelque ville qu’il aborde, il marque les changements qu’elle a subis, les nouvelles rues ajoutées, les bâtiments réparés ou construits, l’augmentation du commerce, l’introduction d’industries nouvelles : voilà tous les aldermen et tous les négociants obligés de souscrire à son ouvrage. — Ailleurs nous rencontrons une anecdote sur un acteur et une actrice : comme les superlatifs intéressent, il commence par dire que William Mountford était « le plus agréable comédien », qu’Anne Bracegirdle était « l’actrice la plus populaire » du temps.