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1248. (1788) Les entretiens du Jardin des Thuileries de Paris pp. 2-212

Mais je veux que l’ouvrage soit enfin vendu, & il ne l’est pour l’ordinaire que la moitié de ce qu’il vaut ; nouveaux embarras, nouveaux tourmens. […] J’attendois impatiemment, quand une aimable Comtesse vint m’entretenir des nouvelles courantes. […] … La langue française eut besoin d’être enrichie de mots nouveaux. […] Examinons, lui dis-je, la nature des journaux qui occupent maintenant les esprits, & qui nous indiquent les livres nouveaux. […] Lorsqu’on la presse de retourner à Dieu, elle répond qu’elle est trop vieille pour faire de nouvelles connoissances.

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