En septembre 1862, un an après la mort de cette précieuse amie, j’écrivis, pour le petit nombre des personnes qui l’avaient connue, un opuscule consacré à son souvenir. […] Au nom des croyances réelles ou prétendues du grand nombre, l’État se croit obligé d’imposer à la pensée des exigences qu’elle ne peut accepter. […] C’est ainsi qu’il se, fait que le vrai, quoique n’étant compris que d’un très petit nombre, surnage toujours et finit par l’emporter.