On leur donnerait un nom. […] Il cherchait des noms pour baptiser ses personnages. Il prétendait avec raison qu’un nom ne s’invente pas plus qu’un mot. Selon lui, les noms se faisaient tout seuls comme les langues ; les noms réels possédaient en outre une vie, une signification, une fatalité, une portée cabalistique et l’on ne pouvait attacher trop d’importance à leur choix. […] … Avoir mis son nom dans tous ces nobles livres, l’honneur du genre humain !