Le Duc de Saint-Agnan lui adressa ceux-ci : Ornement du siecle où nous sommes, Vous n’aurez rien de moi, sinon Que pour les Vers & pour le nom Vous êtes le premier des hommes. […] Nous ignorons fort souvent le nom de tel de nos Poëtes, dont les chansons, que nous savons par cœur, valent autant, & peut-être mieux que celles du Poëte Grec.