Tout d’abord, et pour commencer par le commencement, je n’aime pas ce nom de Philiberte donné à la beauté voilée et souffrante. […] que ces noms sont doux, qu’ils sont intéressants ! […] D’un Héritage, les auteurs n’ont pris que les noms et l’idée première. […] Et l’artiste dévore ces injures qui feraient bondir un laquais, et il baisse la tête sous la savonnette à vilain que le baron lui tend d’une main dédaigneuse, et il renie le nom de son père, et il brocante, à prix d’or, le nom et la paternité ridicule de cet aigrefin blasonné. […] Pour un nom d’emprunt, pour des armoiries de pacotille, pour une alliance véreuse et vénale, il reniera sa famille, ses amis, sa maîtresse et sa musique !