II Sous le nom de termes relatifs, l’auteur étudie les diverses idées de rapport. […] Sous le nom de termes privatifs, il examine les idées appelées d’ordinaire négatives. […] « Quand le mot infini n’est pas employé métaphoriquement, comme quand nous parlons des perfections infinies de Dieu (auquel cas il est non pas un nom d’idée, mais un nom pour un manque d’idées), il ne s’applique qu’au nombre, à l’étendue et à la durée. » Nous augmentons les nombres en ajoutant un à un, un à deux, etc., et en donnant un nom à chaque agrégat. […] Je touche quelque chose, et j’ai la sensation de résistance, l’idée de résistance étant ce qu’il y a de fondamental dans tout agrégat auquel nous donnons le nom d’objet. […] John Stuart Mill (note 3), n’est pas l’existence entre deux choses d’un lien mystique qu’on appelle Relation, auquel on suppose une réalité vague et abstraite ; mais une particularité très simple dans le fait concret que les deux noms expriment.