Au milieu de la cacophonie d’un ouvrage où le récit croise la correspondance et la correspondance le dialogue, ce qui plane, ce qui domine et ce qui choque, c’est je ne sais quel ton cavalier dont le dessous et le vrai nom sont le sans-façon et l’impertinence historiques, — deux défauts et deux ridicules que la Critique ne peut laisser passer, du moins sans avertir ! […] il rentrerait peut-être dans l’aspect général de sa race, et, comme les autres de cette race unitaire, de cette moelle de roi comme dit le nom de Kœnigsmark, il ne s’en distinguerait pas !