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1662. (1892) Boileau « Chapitre VII. L’influence de Boileau » pp. 182-206

Le poème est égayé de noms de méchants auteurs et d’ouvrages ridicules : Saint-Amant, Scudéry, Brébeuf, le burlesque, Cyrus, Clélie, Childebrand, toute cette mauvaise littérature n’a donc pas été détruite par les Satires, elle vit encore, puisqu’il faut encore la frapper. […] Mais le xviiie  siècle ramena Boileau à son niveau pour l’adapter à son usage : et sous le nom de Boileau, ce fut lui-même, son goût personnel, ses secrètes tendances, qu’il déifia. […] La faute en fut d’abord aux classiques qui se firent de ce grand nom un drapeau et un rempart.

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