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465. (1903) Considérations sur quelques écoles poétiques contemporaines pp. 3-31

Tels ces vers : Plus belle que Vénus, tu marches : Ton front est beau, tes yeux sont beaux, Qui flambent sous deux noires arches, Comme deux célestes flambeaux, D’où le brandon fut allumé, Qui tout le cœur m’a consumé, Ce fut ton œil, douce mignonne, Qui d’un regard traistre escarté Les miens encores emprisonne Peu soucieux de liberté, Et qui me desroba, le cœur. […] Et quand, solennel, le soir Des chênes noirs tombera, Voix de notre désespoir, Le rossignol chantera.

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