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337. (1894) La bataille littéraire. Cinquième série (1889-1890) pp. 1-349

Cet homme ignore ou méprise l’amitié, car un jour il est parti, laissant à Boulogne son grand chien noir. […] Depuis deux ans, le chien noir se souvient. […] Les cheveux noirs, abondants, soyeux : les dents blanches et petites comme celles d’une femme de vingt ans. […] Il était petit, trapu, très brun de peau, avec des cheveux noirs de corbeau, se hérissant, puis retombant en mèche tordue sur le front droit qu’ils ombrageaient ; ses yeux très noirs, luisaient sous la voûte sombre de ses sourcils. […] Il faisait nuit noire.

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