Ne dit-elle pas dans sa préface : « Le temps des guerriers à armures noires n’est plus… » et la Clorinde littéraire a levé sa visière. […] Il y en a de « couleur de soleil », comme la robe de Peau d’Âne, mais sans la peau ; il y en a « de tulle noir, de mousseline, avec le burnous par-dessus la taille ».