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1041. (1767) Salon de 1767 « Peintures — La Grenée » pp. 90-121

Et ce Jupiter-là, c’est celui qui ébranle l’Olimpe du mouvement de ses noirs sourcils ? […] Mais son grand front, mais ces cheveux qui se mirent une fois à floter sur la tête du dieu ; mais ces os saillants et larges de l’orbite, qui renfermoient ses grandes paupières et ses grands yeux noirs ; mais ces joues larges et tranquilles ; mais l’ensemble majestueux et imposant de son visage, où est-il ?

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