Déjà vers 1750, Forbonnais note que beaucoup de nobles et d’anoblis, « réduits à une pauvreté extrême avec des titres de propriété immense », ont vendu au petit cultivateur à bas pris, souvent pour le montant de la taille.
Déjà vers 1750, Forbonnais note que beaucoup de nobles et d’anoblis, « réduits à une pauvreté extrême avec des titres de propriété immense », ont vendu au petit cultivateur à bas pris, souvent pour le montant de la taille.