Il craint que les peintures et les imitations qui sont l’essence de la poësie, ne fassent trop d’effet sur l’imagination de son peuple favori, qu’il se répresentoit avec la conception aussi vive et d’un naturel aussi sensible que les grecs ses compatriotes. […] D’ailleurs notre naturel n’est pas aussi vif ni aussi sensible que l’étoit celui des atheniens.