. — La Nature (1892). — Le Livre de la nature (1893). — Les Apparitions, vers (1896). […] D’ailleurs, toute la partie naturiste de l’œuvre de Rollinat est absolument conçue en dehors de l’inspiration du grand poète des Fleurs du mal , qui ne vit pas la nature et rêva d’artificiels jardins où croîtraient des flores métalliques. […] C’est un musicien d’originalité étrange, aussi un très sincère et intuitif peintre de la nature, des plaines profondes où l’œil s’hallucine d’infini, des maisons tristes aux tristes hôtes, des banalités inquiétantes d’une ferme ou d’une métairie, du petit monde bourbeux et féroce d’une mare, des grenouilles, des crapauds.