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3264. (1889) Ægri somnia : pensées et caractères

« Ce sont, lui dis-je, de méchants traits de la nature des choses ; il y en a de pires. […] Cependant elle se consume, demandant en vain à des institutions éphémères la liberté qu’elle tient de sa nature et de ses mœurs, ayant la proie et courant après l’ombre13 ! […] Mais s’il acceptait sincèrement la liberté, comme une des conditions de la société moderne, c’est de la façon qu’un homme d’honneur accepte virilement un adversaire nécessaire, qu’un homme sensé accepte la nature des choses. […] « Tout s’enchaîne, ajoute-t-il, et se tient dans cette nature âpre, forte, rustique et violente, jusque dans sa malicieuse finesse.

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