Une mélancolique intelligence de la nature et de ses correspondances humaines, un art très harmonieux et d’un homme qui sent et pense. […] Personne avant Dierx n’avait aussi bien vu, dans la plus saisissante métaphore qu’ait trouvée la nature, soit la splendeur floue des beaux soirs, vivant un instant, sur la rapide destruction quotidienne, ce contraste du dur déterminisme universel et des toilettes coquettes de ce vieil univers insoluble, couronnes de roses sur le front dur du sphinx.