Et il y eut, au siècle suivant, les snobs de la philosophie, ceux de l’anglomanie, ceux de la sensibilité et de l’amour de la nature, les snobs de Rousseau et de Bernardin de Saint-Pierre. […] Pour eux, Ibsen et Tolstoï sont déjà dans George Sand ; tout le romantisme est déjà dans Corneille ; tout le réalisme dans Gil Blas ; tout le sentiment de la nature dans les poètes de la Renaissance et, par-delà, dans les poètes anciens ; tout le théâtre dans l’Orestie, et tout le roman dans l’Odyssée.