Ces méthodes outrées et exclusives ne conviennent point à sa nature ; il s’empressa d’en retirer, d’en oublier ce que, seul, il n’y eût jamais fait saillir et prévaloir à ce point. […] L’abbé Gerbet, s’il voulait s’y appliquer, et si sa nature physique le lui permettait avec suite, eût composé sans doute plus d’un de ces dialogues heureux : il a en lui ce qu’il faut pour être l’homme des Tusculanes chrétiennes. […] La nature de l’abbé Gerbet est de celles qui, seules, ne se suffisent point à elles-mêmes et qui ont besoin d’un ami ; on dirait qu’il n’a toute sa force que quand il peut s’y appuyer. […] L’abbé Gerbet a donc trouvé un ami égal et tendre, et tout conforme à sa belle et fidèle nature, en M. de Salinis ; parler bien de l’un, c’est s’attirer aussitôt la reconnaissance de l’autre.