Comment eussions-nous étudié la nature sans user d’une semblable méthode ? […] Personne ne récuse cette vérité, que l’étude de l’art est infructueuse sans les dons de la nature. […] On sent aussitôt que les plaisirs vrais de la nature le dédommagent de la perte du pouvoir. […] Les principes du beau comme ceux de la nature sont réguliers et peu nombreux. […] Ce mode tragique, uniformément élevé, n’est déjà plus l’imitation exacte de la nature, mais une imitation convenue de la nature exaltée.