Des idylles gracieuses, des paysages où vous avez ajouté à la nature ce qu’y voyait votre imagination, des chants d’amour qui sont comme parfumés de senteurs printanières. […] Vous êtes moins grec que lui ; le Parthénon vous inspire moins que les minarets et les pagodes ; mais, chez vous comme chez lui, l’accent païen, la note franche et libre, l’expression de la sainte nature sans réticences et sans voiles pudiques.