/ 1692
329. (1903) La vie et les livres. Sixième série pp. 1-297

Mais ils transfiguraient à plaisir les aventures de leur nation. […] Les gardes nationales, réorganisées par Carnot, quittèrent leurs foyers aux cris de : « Vive la nation ! […] l’insolente nation !  […] La collaboration de ce génie était nécessaire au progrès de la nation française. […] Le rebut malfaisant que toute nation contient s’échappe par toutes les fissures de la société vermoulue.

/ 1692