Mais ils transfiguraient à plaisir les aventures de leur nation. […] Les gardes nationales, réorganisées par Carnot, quittèrent leurs foyers aux cris de : « Vive la nation ! […] l’insolente nation ! […] La collaboration de ce génie était nécessaire au progrès de la nation française. […] Le rebut malfaisant que toute nation contient s’échappe par toutes les fissures de la société vermoulue.