C’est aussi l’expérience de la race humaine, et par là même c’est une part immense dans la sagesse des nations. […] Une nation n’a pas deux élites de caractères et de talents en dix ans. […] Elle était dans une de ces périodes de lassitude qui suivent les grandes convulsions ; alors les nations ne s’inquiètent plus comment, mais par qui elles sont gouvernées. […] Et à quoi seraient bonnes les forces des nations, sinon à essayer de dominer les unes sur les autres ? […] Ce qu’un homme de génie est à une nation, une grande nation l’est à l’humanité.