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770. (1769) Les deux âges du goût et du génie français sous Louis XIV et sous Louis XV pp. -532

Du reste, l’un & l’autre étaient nés & s’étaient perfectionnés dans notre siecle. […] S’il fût dans l’ancienne Rome, il eût pu être Lucrece, & n’eût jamais été Virgile. […] avec plus de génie que de goût, il peignait à grands traits & négligeait les détails. […] Il fit naître de nouveaux fruits dans un champ que tant de moissons semblaient avoir épuisé. […] Fagan était avec le germe du bon comique ; mais il fit peu d’efforts pour le développer.

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