Pour Chateaubriand, l’influence qui apparaît la première, c’est celle du milieu où il est né. […] Mme de Krudener était née à Riga. […] Et d’abord il était né dans les plus mauvais jours de la Révolution, au milieu du deuil de sa famille. […] naître pour vivre en désirant la mort ! […] J’aime, mais je n’aime personne, car l’homme que je pourrais aimer n’est pas né, et il ne naîtra peut-être que plusieurs siècles après ma mort !