Henri Mürger, qui m’étaient inconnues, et je crois pouvoir affirmer que ce ne sont pas de ces choses qui soient organisées pour durer… Ce sont, je le veux bien, ici et là, deux ou trois fleurettes, peut-être d’autant plus touchantes qu’elles sont nées sur des plates-bandes dont le terreau n’était pas très-pur et dont le jardinier avait beaucoup souffert. […] Né délicat, M. […] C’était le dernier mot du Romantisme en gaieté ou plutôt en griserie et le premier du Réalisme qui allait naître et qui allait en dire de plus laids.