Enfin, dans cette quatrième époque, on vit naître et se développer l’éloquence chrétienne qui tenait à des idées, des principes et des objets entièrement nouveaux. […] De tout cela ensemble, dut naître un mélange de beautés et de défauts, de négligence dans le style et de grandeur dans les idées, quelquefois toute la force et toute l’impétuosité du zèle religieux, quelquefois toute la faiblesse d’une morale froide et monotone, ce qui peut souvent frapper l’imagination, ce qui doit souvent révolter le goût. […] Enfin, son règne fut long, ce qui ajoute à cette idolâtrie des cours, qui naît encore plus de l’habitude que du sentiment.